28 novembre 2008
François Lafon Séminaire de recherche, 1ère de 2 séances de travail sur « L’histoire des relations franco-israéliennes ».

19 décembre 2008
Caroline Rozenholc (doctorante, boursière CRFJ) « Le quartier de Florentin à Tel-Aviv ».

30 janvier 2009
Agathe Mayeres (doctorante, boursière CRFJ) « Massignon et son interprétation théologico-politique de la Palestine ».

20 mars 2009
Sophie Kessler Mesguich (CRFJ) « L’hébreu et les langues sémitiques ».

22 mai 2009
Sylvain Bauvais (CRFJ) « Séminaire de méthodologie ».

19 juin 2009
Journée d’études de Cédric Parizot (CRFJ) « Les mobilités transfrontalières »

Mercredi 14 octobre, de 18h à 20h
Frédérique Schillo (CRFJ)
La médiation française dans les armistices israélo-arabes de 1949

Vendredi 30 octobre, de 10h à 12h
Nicole Lapierre (CNRS)
Approches transversales des mémoires juives et noires
En opposition au thème de la « concurrence des victimes », N. Lapierre étudie actuellement la démarche d’écrivains, de théoriciens, d’intervenants politiques, juifs ou noirs, qui ont réinterprété leur mémoire à travers celle de l’autre.

Mercredi 4 novembre, de 18h à 20h
Freddy Eytan ancien ambassadeur, chercheur au Centre des Affaires Publiques et de l’Etat (CAPE) de Jérusalem, auteur de Sarkozy, le monde juif et Israël (Editions Alphée/Jean-Paul Bertrand, septembre 2009)
La politique de Nicolas Sarkozy au Proche-Orient : le changement dans la continuité ? 

Vendredi 27 novembre, de 10h à 12h
Frédérique Schillo (CRFJ)
Identité nationale et politique étrangère : les trois France et la construction de l’État d’Israël

Vendredi 11 décembre, de 10h à 12h
Jean Khalfa (maître de conférences, Université de Cambridge)
The Genesis of Negritude and Pan-Africanism in Post WWI Paris and the Notion of Black Sionism

Jean Khalfa présentera la façon dont les premières négritudes se sont pensées sur le modèle du Sionisme de Herzl. DuBois aussi bien que Garvey, les deux grands leaders historiques américains se sont dit Sionistes, DuBois a assisté au procès de Dreyfus et a eu une correspondance avec Ben Gurion. En France, l’un des plus importants penseurs de la négritude, Kojo Tovalou Houénou se disait sioniste noir et les rapports de police le désignent ainsi. L’intérêt de la généalogie des notions de ‘négritude’, du point de vue de Jean Khalfa, est de montrer la complexité des genèses de modes de conscience que l’on perçoit, a posteriori, comme linéaires et évidentes.

Mercredi 23 décembre, de 18h à 20h
Tsilla Hershco (chercheuse au Begin-Sadate Center, Université Bar Ilan)
L’Union pour la méditerranée : le retour de la médiation française dans le processus de paix ?